La procrastination n'est pas une question de gestion du temps

🎯 La procrastination, ce n’est pas un problème d’organisation

Tu es avocat, indépendant, et tu as tout pour réussir : l’expertise, les clients, les opportunités. Pourtant, il y a ce dossier que tu reportes depuis des semaines, cette décision que tu évites, ce rêve de cabinet que tu n’oses même pas formuler à voix haute. Tu te dis que c’est un problème de temps, d’organisation, ou de marché trop concurrentiel.

Mais et si la vraie raison était bien plus simple… et bien plus profonde ?

C’est ce qu’a découvert Pierre, avocat depuis 5 ans, quand il est venu me voir en disant : "Je veux arrêter de procrastiner, mais j’ai l’impression de tourner en rond." Ensemble, on n’a pas parlé de gestion du temps. On a parlé de légitimité, de peur de l’échec, et de la feuille de route qui l’a mené à oser enfin construire son cabinet idéal.

Son histoire est peut-être la tienne. Voici comment il a fait… et comment tu peux faire de même.

🔍 Le vrai visage de la procrastination (spoiler : c’est souvent de la peur)

Le cas de Pierre : Pierre avait tout pour réussir : une expertise solide, des clients, et l’envie d’un cabinet ambitieux (5-6 personnes, des locaux haussmanniens, des dossiers passionnants). Pourtant, il se sentait "attentiste" :

• Il finissait un dossier… et restait bloqué des jours avant d’en commencer un autre.
• Il évitait les opportunités "trop grosses" par peur de ne pas être à la hauteur.
• Il avait même investi dans un coaching "marketing", mais sans résultat : "Je savais comment me vendre, mais je n’osais pas."

Le diagnostic : En creusant, on a identifié 3 peurs masquées :

1. "Si je rate, je ne suis pas légitime" → Il évitait les dossiers ambitieux.
2. "Je ne mérite pas encore ça" → Il reportait les décisions importantes (recrutement, déménagement).
3. "Et si je me trompe ?" → Il sur-analysait tout, jusqu’à la paralysie.

Pourquoi c’est crucial pour toi : La procrastination, ce n’est (presque) jamais un problème d’organisation. C’est souvent une peur qui n’a pas été nommée. Et tant qu’elle reste dans l’ombre, elle contrôle tes actions… ou ton absence d’action.

💡 Question pour toi : "Quelle est LA tâche ou LA décision que tu reporte depuis des semaines ? Si tu creuses, quelle peur se cache derrière ?"(Partage-la en commentaire ou envoie-moi un mail, je t’aide à la débusquer !)

🛠️ 3 étapes pour transformer la peur en action (la méthode testée avec Pierre)

Étape 1 : Nommer les peurs (et les désamorcer)

‍On a listé ses "si… alors" catastrophistes :

• "Si je prends ce dossier et que je rate ?" → "Je serai un imposteur." → Réalité : Il n’avait jamais échoué sur un dossier.
• "Si je recrute ?" → "Je ne saurai pas manager." → Réalité : Il avait déjà encadré des stagiaires avec succès.

→ Le déclic : "Mes peurs sont des scénarios imaginaires. La preuve ? Je n’ai jamais vécu ce que je redoute."

Étape 2 : Passer de l’artisanat à l’industrie (sans perdre son âme)

‍Pierre travaillait "en artisan" : chaque dossier était une exception, chaque processus à réinventer. Résultat : épuisement et sentiment de stagnation.On a :

• Cartographié son parcours client : "Comment passer de ‘je prends ce qui vient’ à ‘je cible les dossiers qui me font vibrer’ ?"
• Créé des checklists : "Quand tu finis un dossier, quelles sont les 3 actions à faire immédiatement pour lancer le suivant ?"
• Défini son "cabinet idéal" : "5-6 personnes, locaux haussmanniens, CA de X€." → "OK, alors quel est le premier recrutement à prévoir ?"

→ La clé : "Un rêve, c’est juste une série d’actions à enclencher. La question n’est pas ‘Est-ce que j’y arriverai ?’, mais ‘Quelle est la prochaine étape ?’"

Étape 3 : Accepter l’imperfection (et célébrer les petites victoires)‍

Pierre avait un syndrome de l’imposteur classique : "Je dois tout maîtriser avant d’agir."On a travaillé sur :

• Le droit à l’erreur : "Un mail mal rédigé ? Corrigible. Un dossier perdu ? Tu n’en as perdu aucun."
• Les petites victoires : "Qu’as-tu fait cette semaine qui t’a rapproché de ton cabinet idéal ?" (Ex : "J’ai contacté un confrère pour un partenariat.")

→ Le résultat : "J’ai compris que mon cabinet idéal n’était pas un fantasme. C’est juste une feuille de route à suivre, étape par étape."

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📌 À retenir :"La procrastination, c’est souvent la peur du futur. L’action, c’est la confiance en ta capacité à gérer l’imprévu."

🎉 Les résultats concrets (et comment les reproduire)

6 mois après :

• Pierre a une vision claire de son cabinet à 3 ans (avec un rétroplanning).
• Il a signé 2 dossiers ambitieux qu’il aurait évités avant.
• Il a arrêté de culpabiliser quand il prend une pause.
• Son avis : "J’ai enfin l’impression de construire quelque chose, pas juste de subir."

Son conseil pour toi : Si tu te reconnais, commence par ça :

1. Écris ta peur (la vraie, pas l’excuse).
2. Demande-toi : ‘Quelle est la plus petite action que je peux faire aujourd’hui pour avancer ?’
3. Fais-la. Même si c’est imparfait. Même si tu as peur. Parce que l’action, ça se corrige. L’inaction, non.

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📌 Et toi, quel est ton "Et pourquoi pas ?"

Pierre pensait que son cabinet idéal était un rêve inaccessible. Jusqu’à ce qu’il réalise que c’était juste une question d’actions… et de permission de se tromper.

Alors aujourd’hui, je te laisse avec cette question : Quelle est LA chose que tu reporte depuis trop longtemps… parce qu’une peur (invisible) te retient ?

Et si tu te donnais la permission d’essayer ? Même imparfaitement. Même avec des doutes.

Parce que, comme Pierre, tu mérites de construire quelque chose qui te ressemble. Pas de juste ‘subir’ ton activité.

À toi de jouer !

Guylaine

‍P.S. : Cet article t’a parlé ? Partage-le à un confrère ou une consoeur qui a besoin de passer à l’action ! Et n’oublie pas : pour ton audit gratuit, clique ici ou réponds "AUDIT" en commentaire

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